Mal Vivre ou Bien Vivre

La forme la plus pure du marché garantie à plus de 99 % d’acide L-ascorbique.

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VITAMINE C

BIEN OU MAL VIVRE, A VOUS DE CHOISIR

Docteur Gilbert CRUSSOL, Dr. C.D., FI. C.D.,

Member International Academy of Oral Medicine and Toxicology.

Notre organisme est incapable de fabriquer la Vitamine C dont nous avons en permanence besoin. Pratiquement toutes les espèces animales sont capables de fabriquer la Vitamine C dont leur métabolisme a besoin, en quantités variables suivant les nécessités du moment. Seules quelques rares espèces sont, comme nous, dépourvues de ce privilège et doivent quotidiennement consommer les fruits et les légumes nécessaires à cet apport vital en Vitamine C qu’ils ne sont plus en mesure de fabriquer biologiquement (1)

Le cochon d’Inde fait partie de ces animaux et devient diabétique en un mois lorsqu’il est privé de Vitamine C dans ses aliments (2). Ceci met en évidence le lien étroit existant entre la Vitamine C et l’Insuline, établissant si besoin en était la gravité que revêt pour les diabétiques la persistance d’une carence en Vitamine C. II est intéressant de noter que les signes biologiques du scorbut (carence en Vitamine C) et du diabète avancé sont identiques (3).

Notre alimentation actuelle est vide en Vitamine C :

Notre mode de vie, ainsi que les techniques actuelles de production, les traitements appliqués aux denrées alimentaires et au stockage de celles-ci, sont des facteurs déterminants dans la diminution de la qualité nutritionnelle des aliments que nous consommons, et directement responsables de la destruction de la plus grande partie de la Vitamine C qu’ils sont censés contenir. II en est de même en ce qui concerne les oligo éléments et les minéraux qui ne sont plus présents dans les végétaux en raison de l’épuisement des terres cultivées.

Les méfaits de la carence en Vitamine C :

La Vitamine C est nécessaire au maintien de toutes nos fonctions métaboliques et à la Vie elle-même. En effet, la Vitamine C participe à tous les échanges cellulaires de notre corps, c’est un facteur essentiel du bon fonctionnement de notre système immunitaire.

La carence en Vitamine C s’installe en silence, insidieusement en chacun d’entre nous. Elle a pour conséquences l’apparition de rhumes, de grippes, d’une fatigue chronique qui s’installe progressivement, de saignements de gencives intempestifs lors du brossage dentaire, de bleus sur la peau au moindre choc, d’un stress métabolique responsable d’intolérance, d’allergie et de la dégradation progressive de toutes nos fonctions pouvant aboutir à la mort (ce qui était le cas des marins partant en bonne santé sur des voiliers traversant l’atlantique pendant de trop longs mois et beaucoup d’entre eux mouraient avant la fin du voyage).

La carence en Vitamine C entraîne une fragilité des capillaires sanguins, ayant pour conséquence des saignements de nez par rupture des parois des petits vaisseaux, des hémorragies rétiniennes chez les diabétiques, des dégénérescences tissulaires plus importantes chez les personnes âgées : arthrose, ostéoporose, des lésions oculaires (de la macula ou cataracte)… (4)

II faut savoir que des animaux privés de Vitamine C développent des cataractes irrécupérables, ou très peu récupérables après correction de cette carence (5). Des chercheurs italiens ont constaté que l’hypertension intraoculaire tend à se normaliser dans de très nombreux cas de Glaucome, dans les quinze jours qui suivent la correction de la carence en Vitamine C par des apports suffisamment importants de cette Vitamine (6). Ceci n’a rien de surprenant quand on sait que la concentration en Vitamine C contenue normalement dans l’œil est 40 fois supérieure à la concentration de Vitamine C contenue dans le plasma sanguin (7).

La Vitamine C est un puissant anti-oxydant :

Lorsque nous sommes en carence de Vitamine C les radicaux libres en surcharge dans nos cellules trouvent la voie libre pour effectuer leur œuvre de destruction des membranes cellulaires. Ces surcharges en radicaux libres sont des facteurs déterminants dans l’apparition du vieillissement tissulaire, de la fatigue chronique, des déficiences immunitaires, du dysfonctionnement de notre métabolisme, du développement de l’athérosclérose et des autres maladies dégénératives.

La Vitamine C permet le rejet des poisons que nous absorbons :

Nous stockons dans nos tissus, au fil du temps, des métaux lourds toxiques intimement liés à nos cellules : mercure des amalgames dentaires, plomb provenant des gaz d’échappement ou des peintures anciennes (saturnisme chez les enfants, cause de retard scolaire) (8), du cadmium provenant des cigarettes, etc.

Nous ne pouvons lutter contre la pollution de l’air que nous respirons, de l’eau que nous buvons, des fruits, des légumes et des céréales que nous consommons quotidiennement dans notre alimentation.

II faut savoir que la Vitamine C à la propriété de permettre la mise en œuvre de réactions biologiques qui transforment les poisons stockés dans nos tissus en sels solubles, participant ainsi à leur élimination dans les urines et dans les excréments (9). En cas de carence en Vitamine C, lorsque la quantité de Vitamine C présente dans nos vaisseaux et dans nos cellules est insuffisante, cette fonction de rejet des poisons que nous absorbons à notre insu n’est pas mise en œuvre. Cette action protectrice de la Vitamine C qui sauvegarde le bon fonctionnement de nos différents organes est méconnue.

La Vitamine C doit être consommée tous les jours et plusieurs fois par jour pour prévenir cette carence :

Les apports quotidiens en Vitamine C doivent être permanents pour prévenir l’installation de cette carence. En effet la Vitamine C ne se stocke pas dans notre organisme, l’Acide Ascorbique (Vitamine C) devient de l’Acide déshydro-ascorbique (forme oxydée de la Vitamine C) lorsque la Vitamine C est utilisée dans les échanges cellulaires et cet acide déshydro-ascorbique est ensuite rejeté dans les urines (10).

Des recherches ont été publiées par le Professeur Irwin STONE (USA) sur l’importance que revêt le rapport : Vitamine C disponible (Acide Ascorbique) sur Vitamine C utilisée (Acide déshydro-ascorbique).

Ce rapport est de 14 chez les personnes en bonne santé (c’est à dire qu’il y a quatorze fois plus de Vitamine C utilisable dans leur sang que de Vitamine C oxydée). Ce rapport est inversé lorsque les personnes sont gravement malades pour atteindre le chiffre fatidique de 0,3 lorsque les personnes sont à l’article de la mort (méningite) (11). On comprend aisément qu’il est plus facile et rapide d’agir sur la quantité de Vitamine C immédiatement disponible que sur les agresseurs du système immunitaire souvent responsables de l’installation de cette situation critique.

Les agresseurs de notre système immunitaire :

Les principaux agresseurs de notre système immunitaire sont le stress, le tabac ou l’alcool en consommation excessive, la pollution par les métaux lourds, les traitements par chimiothérapie, radiothérapie, anti-inflammatoires, antalgiques, antibiotiques, anesthésie, chirurgie, vaccinations (12), tranquillisants, neuroleptiques, pilules contraceptives, etc. Les substances chimiques utilisées à notre insu pour conserver et stocker les denrées alimentaires que nous consommons se trouvant également présentes dans l’eau que nous buvons et dans l’air que nous respirons, suite aux épandages et aux pulvérisations effectuées par les agriculteurs sur leurs récoltes que nous consommons également.

En effet, ces substances chimiques répandues sur les plantes ruissellent à la première pluie, sont absorbées par les racines des plantes que nous consommons mais pénètrent également dans le sol pour finalement aboutir dans la nappe phréatique souterraine dans laquelle les Sociétés de distribution d’eau pompent l’eau que nous consommons en potages, mais aussi pour le lavage des légumes, cuisson des pâtes ou du riz, etc.

La liste est longue de toutes ces pollutions qui puisent dans notre stock de Vitamine C des quantités de plus en plus importantes, afin de contrebalancer les effets nocifs de “la civilisation”.

Le Docteur BASTIEN, médecin à Remiremont dans les Vosges administra, pendant plus de 10 ans, à ses patients empoisonnés par les champignons vénéneux, des quantités importantes de Vitamine C (13). Enthousiasmé par les résultats obtenus, n’en ayant perdu aucun, il dégusta par trois fois, devant les caméras de télévision, des plats d’Amanite Phalloïde (jusqu’à 250 grammes de champignons, théoriquement mortels à seulement quelques dizaine de grammes) et ceci à chaque démonstration en même temps qu’il consommait de la Vitamine C. Et il survécut à chaque fois à cette expérience.

S’il avait effectué cet exploit, c’était dans le seul but de convaincre ses confrères incrédules du bien fondé de sa découverte… que reste-t’il aujourd’hui du protocole du Docteur BASTIEN…

Comment préserver notre santé :

Le Docteur WALACH (USA), ingénieur agricole, vétérinaire, médecin, a comme hobby de tenir un registre de l’âge du décès des médecins connus aux USA pour leur opposition à la consommation quotidienne de vitamines et de minéraux en complément à notre alimentation. II a pu mettre en évidence le fait que ceux-ci décèdent, pour la plupart, avant l’âge de 60 ans, certains mourant beaucoup plus jeunes encore (14).

II n’en va pas de même pour les médecins partisans de la prise quotidienne de compléments alimentaires et en particulier de Vitamine C. Par contraste le Professeur Thomas BARLOW, médecin personnel de la reine Victoria d’Angleterre qui décrivit le premier le scorbut infantile (15) vécut 100 ans. Le double Prix Nobel Linus PAULING, vécut 94 ans et donnait encore des conférences devant 3.000 personnes à l’âge de 90 ans. Albert SZENT GYORGYI, Prix Nobel de Médecine en 1937, qui synthétisa le premier la Vitamine C, vécut jusqu’à 93 ans. Tadeusz REICHSTEIN, Prix Nobel en 1950 pour ses recherches sur la Vitamine C, vécut jusqu’à 99 ans. Le Dr. Frederic KLENNER, éminent spécialiste de la Vitamine C dont les recherches cliniques font autorité, dépassa les 90 ans.

II existe un autre moyen de prévenir l’apparition du vieillissement tissulaire. C’est le professeur CHERASKIN qui l’a évoqué en 1983 au MIDWINTER MEETING de Chicago (USA) (16).

Le Professeur CHERASKIN est un éminent chercheur biologiste, Docteur en Médecine et en Chirurgie Dentaire, Titulaire d’une chaire d’enseignement à l’Université d’Alabama (USA), auteur de plusieurs centaines d’articles et de plusieurs dizaines de livres sur la Vitamine C et sur les compléments alimentaires, spécialiste de la nutrition et de la médecine orthomoléculaire (complémentation en oligo-éléments et vitamines).

Son récit est le suivant : lors d’une émission produite par la Télévision Américaine, le Professeur CHERASKIN avait été invité en même temps qu’un Lieutenant de l’Armée Japonaise Monsieur OONOUDO. Le lieutenant OONOUDO avait ignoré pendant 30 années que la guerre entre son pays et les États-Unis était terminée. Pendant toute cette période le lieutenant OONOUDO vivait dans la jungle des Philippines où il poursuivait la guerre qui lui avait été commandée, n’ayant pas reçu d’ordre contraire.

II continuait à tuer ses ennemis (l’armée Philippine qui essayait en vain de le capturer), il s’alimentait de poisson cru, de fruits et de légumes crus (ce qu’il pouvait recueillir dans cet environnement sauvage), ne voulant pas faire de feu pour se faire repérer. De plus, il se déplaçait sans cesse et parcourait rapidement de grandes distances. II ne fut jamais capturé et ne sortit de la clandestinité que sur l’ordre de ses supérieurs, après un balayage de la jungle à l’aide de hauts parleurs puissants. Il rentra au Japon où il fut examiné par des médecins spécialisés qui constatèrent que bien qu’il soit âgé de 65 ans, il n’avait physiologiquement que 25 ans.

Le Professeur CHERASKIN lui demanda s’il lui était possible de se laver les dents chaque jour, il avoua ne l’avoir pas fait une seule fois en trente ans, Pourtant il ne présentait aucune carie dentaire ni aucun problème gingival. Le Professeur CHERASKIN fit alors remarquer que notre vie civilisée ne nous donnait pas la chance de vivre dans la jungle en s’alimentant sainement et en courant plusieurs dizaines de kilomètres par jour….

Et le Professeur CHERASKIN de conclure « Nous sommes contraints à des compromis quotidiens, qui consistent à pratiquer un peu d’exercice physique, à consommer des compléments alimentaires pour pallier aux carences de notre alimentation « industrialisée » mais ces compromis sont indispensables au maintien de notre santé en milieu pollué et stressant ».

Absorber quotidiennement (2 à 3 fois par jour) de la Vitamine C, immédiatement disponible sous la forme de complément alimentaire, est un moyen simple et peu coûteux de prévenir l’installation de carences souvent liées à l’apparition des situations dramatiques que nous venons d’évoquer. Comme l’a écrit le Docteur CORSON dans son livre “ NOTRE ANGE GARDIEN LA VITAMINE C ” (17), le rôle joué par la Vitamine C dans le maintien de notre santé est vraiment celui d’un ange gardien.

Note de l’auteur à propos des AJR :

Les AJR ou “ Apports Journaliers Recommandés ” correspondent à des tests effectués en 1942 destinés à évaluer la quantité minimum de Compléments Alimentaires nécessaires au maintien des fonctions métaboliques essentielles. Cette étude a été réalisée dans le but de déterminer les apports vitaminiques et minéraux minima souhaitables pour être ajoutés aux rations des soldats devant aller au combat.

Les tests des AJR ont été effectués sur des personnes bien portantes (de jeunes soldats dynamiques et en pleine forme) à une époque ou la pollution par les métaux toxiques et les substances chimiques utilisés par l’agriculture et l’industrie de transformation alimentaire étaient bien inférieure à celle que nous subissons aujourd’hui. Par ailleurs, en 1942 les apports de Vitamine C contenus dans les produits frais étaient bien supérieurs à ceux d’aujourd’hui.

En réalité il n’existe pas de conseil standard qui puisse convenir à tout le monde, ni même de quantité minimum qui puisse être conseillée. Les quantités de Vitamine C nécessaires à un individu sont extrêmement différentes d’une personne à l’autre, et varient également selon les circonstances et le mode de vie.

L’erreur souvent commise par les consommateurs de Vitamine C est de se conformer strictement aux AJR. Nous devons adapter la quantité de Vitamine C consommée à la demande de notre corps, à l’importance de notre stress, aux saisons, à l’état de fatigue… On ne peut que se tromper en en consommant insuffisamment.

Références :

(1)   ‑ Dr STONE Irwin, USA, « Vitamin C against disease », Perigee Books.

(2)   ‑ C.G. KING, USA, 1934, « Journal of Biological Chemistry Vol 116 ».

(3)   ‑ Dr G. H. CRUSSOL, 1990 « Conférence Paris ».

(4)   ‑ Dr CLEMETSON Alan « Vitamin C », Vol. III CRC Press.

(5)   ‑ VARMA S. D., 1984 Curr. Eye Res.

(6)   ‑ VIRNO M., 1965, Bollotino d’Oculistica, Bologna.

(7)   ‑ Dr CORSON P, 1995 « Notre Ange gardien la Vitamine C », page 70.

(8)   ‑ Dr STRAUTS, HALLAWAY N., Canada, 1959, « Turning lead into gold » N.S. Books.

(9)   ‑ Pr HALEY Boyd, 1999, Conference, University of Westminster, Londres.

(10) ‑ Dr STONE Irwin, USA, « Vitamin C against disease », Perigee Books.

(11) ‑ Dr STONE Irwin, USA, « Vitamin C against disease », Perigee Books.

(12) ‑ Dr KALOKERINOS, Australie « Every second child », A pivot health Book.

(13) ‑ Dr BASTIEN Pierre, « Je me suis empoisonné avec les Amanites Phalloïdes ».

(14) ‑ Dr WALLACH, USA, Conférence « Dead Doctors dont’ lie ».

(15) ‑ Dr BARLOW Sir Thomas (1845‑1945) « Infantile Scurvy ».

(16) ‑ Dr CHERASKIN, USA, 1983 Conference, MidWinter Meeting Chicago.

(17) ‑ Dr CORSON Pierre « Notre Ange gardien la Vitamine C ».