Mieux vaut prévenir que guérir

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MIEUX VAUT PREVENIR QUE GUERIR

Gilbert H. CRUSSOL, Dr C.D., F.I.C.D.

« Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, nous les voyons telles que nous sommes. » ANAÏS NIN

Olivier CLERC, dans son livre intitulé « Médecine, Religion et Peur » nous dit avec beaucoup de lucidité, pour le citer : « À chaque mauvaise surprise, à chaque nouveau scandale, les chercheurs prophétisent que la prochaine étape sera la bonne, que la prochaine découverte, le prochain remède nous donnera la solution… Et quand cette solution révèle à son tour ses faiblesses, et ses effets secondaires, parfois pire que les éphémères bienfaits, la recherche nous vante déjà les mérites du prochain mirage. »

En réalité, il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en doute le dévouement des médecins et leur compétence résultant d’études difficiles et de longues années de pratique.

Mais il ne leur appartient pas d’assumer l’entière responsabilité de notre mode de vie, de nos habitudes alimentaires bonnes ou mauvaises qui nous concernent personnellement.

Chacun d’entre nous est conscient que l’être humain est très loin de la perfection et les effets de sa violence et/ou de sa stupidité font souvent la une de nos journaux.

Nos faiblesses génétiques sont mises en évidence par notre mode de vie et peuvent être souvent corrigées par la nutrition, la consommation quotidienne de compléments alimentaires et l’exercice d’une activité physique non-stressante.

Un chercheur Américain Alexander Schauss a démontré que dans la délinquance juvénile, la consommation d’alcool et de drogues était intimement liée à la consommation de sucre, et aux carences qui y sont associées. On peut déduire de ses travaux que, si nous ne sommes pas parfaits, nous sommes cependant très améliorables. Le corps humain fait preuve de patience, de tolérance et d’une incroyable résistance, si nous considérons ce que certains d’entre nous lui infligent…

Le corps humain est également soumis à une grande quantité de contrainte dont le contrôle nous échappe entièrement. L’environnement, l’utilisation exagérée de colorants, de sel, de sucre, de conservateurs dans notre alimentation industrialisée nous est imposée et n’ira qu’en s’aggravant. Cet incroyable pouvoir d’adaptation de notre organisme a cependant ses limites et, si nous n’en sommes pas conscients, si nous ne faisons pas preuve de prudence, nous courons à la catastrophe.

Il y a quelques années, un de mes patients âgé de cinquante ans me vantait sa résistance en me disant : « Je suis en pleine forme, j’ai dansé chez Régine jusqu’à 3 heures du matin, et à 6 heures je montais à cheval. »

Sa poignée de main qui trahissait une main moite me disait une tout autre histoire. Il est mort deux jours plus tard. Cet homme modèle de réussite dans les affaires, n’avait pas pensé à gérer son propre capital de santé…

LE CERCLE VICIEUX DES TENTATIONS

Les tentations multiples de la vie actuelle entraînent une succession de phénomènes gravissimes, l’abus de sucre détruit les dents dès le plus jeune âge, des extractions (mutilations) interviennent ensuite pour éliminer les dents trop cariées. Lorsque les dentistes pratiquent des réhabilitations prothétiques, c’est trop souvent à base de métaux toxiques: Mercure, Nickel, Argent…

Ces métaux toxiques vont ralentir les échanges cellulaires et se stockent souvent sur nos tissus nerveux qu’ils empoisonnent littéralement… La Vitamine C est connue pour être un protecteur des tissus, et pour favoriser l’excrétion du mercure et des métaux lourds toxiques.

L’ abus de sucre, (calories mortes), entraîne des carences alimentaires responsables d’un déséquilibre métabolique favorisant davantage les déviances alimentaires.

QUE POUVONS-NOUS FAIRE ?

Résister aux tentations, mais, Sacha Guitry n’a-t-il pas dit : « Je résiste à tout, sauf à la tentation. »

Adopter fermement un mode de vie de santé, donner à notre entourage et en particulier à nos enfants le bon exemple en toutes circonstances. Reconnaître que les aliments disponibles manquent gravement de nutriments indispensables à une santé optimale et accepter l’idée qu’une supplémentation peut être nécessaire. Nombreux parmi nous sont ceux qui pensent que la Médecine peut compenser nos erreurs passées et présentes. Mais s’ils interrogent leur médecin à ce sujet, je doute fort que celui-ci leur donne raison.

On voit des alcooliques au dernier stade d’une cirrhose du foie continuer à boire, des fumeurs persister à fumer dans le service de cancérologie ou fumer est strictement interdit, persistant ainsi dans leurs erreurs et en payer le prix fort.

« Il y a pire que l’esclavage, c’est d’avoir des esclaves et de les appeler Citoyens ». Alphonse de Lamartine

Beaucoup d’entre nous sont devenus les esclaves de leur environnement, des « drogués » de la civilisation, tout se passe comme dans le syndrome de Stockholm, où les otages, lorsque la prise d’otages a duré suffisamment longtemps, ont sympathisé et épousé la cause de leurs bourreaux.

Nous pouvons choisir d’éviter le plus souvent possible de consommer des aliments contenant du sucré raffiné (Il n’est pas inutile de rappeler que le sucre « roux » en fait partie), des dérivés du lait, de l’alcool, du tabac, des drogues licites et illicites…

Nous pouvons décider de pratiquer chaque jour, des activités physiques non-stressantes et de diminuer ainsi considérablement les risques de problèmes de santé. Même si le prix à payer est de passer pour un doux illuminé.

Le Professeur Cheraskin, un de mes Maîtres et très cher ami m’a raconté l’histoire suivante : Professeur du plus haut grade, il avait le privilège de choisir en premier l’emplacement de parking pour sa voiture dans le gigantesque parking de l’Université d’Alabama où il enseignait la Médecine.

Alors que chaque année, tous les professeurs et employés se battaient pour obtenir l’emplacement le plus proche de l’entrée de l’université, il insistait pour se voir attribuer la place de parking la plus éloignée. Il avait choisi de marcher plus d’une demi-heure chaque jour, pour accéder à son véhicule.

Naturellement, les autres enseignants de cette illustre Université regardaient sans comprendre ce gentil original. Je lui dois toute ma reconnaissance pour m’avoir enseigné, certes les sciences de la vie, mais surtout un mode de raisonnement différent et, plus que tout, offert la chance d’avoir vécu jusqu’à mon âge (avancé), en bonne santé, avec un nombre de jours d’arrêt de travail inférieur aux doigts d’une seule main…

En dépit de toutes ces précautions, il nous faudra néanmoins respirer de l’air pollué, ingérer des aliments traités et retraités, boire de l’eau dont l’odeur de chlore qui s’en échappe nous indique que si celle-ci est bactériologiquement correcte, ce n’est pas pour autant qu’elle est indemne de substances chimiques… ou de l’eau en bouteille dont certains prétendent qu’elles sont irradiées…

L’ESSAYER C’EST L’ADOPTER

Si nous devons profiter des connaissances et de l’expérience des autres, rien n’égal notre propre expérience en matière du maintien de notre santé. S’il est légitime d’être sceptique au sujet de l’existence de carences, c’est cependant sur nous-mêmes que nous devrons compter pour combattre les effets dévastateurs de la pollution, du stress, du tabac, de l’alcool, des mauvaises habitudes alimentaires ou sédentaires, etc.

Il nous appartient de découvrir l’importance de la consommation quotidienne de Vitamine C dans le comblement de nos carences alimentaires et dans le rejet des métaux lourds toxiques et des poisons de la pollution que nous avons stockés au fil du temps, en sachant que nous sommes tous différents et que nos besoins en Vitamine C sont également variables suivant les individus. Nous augmenterons progressivement la quantité quotidienne de Vitamine C consommée, jusqu’à obtention d’un résultat optimum, sachant que l’apparition d’une diarrhée unique indique que nous avons atteint notre seuil d’absorption intestinale (Dr Cathcart). Ainsi nos besoins quotidiens se situent juste en deçà de ce seuil.

Vous apprécierez l’amélioration spectaculaire de la qualité de vos cheveux, vos ongles cesseront de casser, votre peau sera plus souple et plus élastique. Le teint des fumeurs de gris deviendra plus rose, vos performances sportives progresseront par amélioration de votre endurance à l’effort. Les rhumes, bronchites trachéites, rhinites et les problèmes respiratoires ne seront, le plus souvent, qu’un mauvais souvenir…

Enfin, ayons une pensée pour tous ceux qui meurent chaque jour de carence aiguë en Vitamine C par pauvreté, malnutrition (Dr Kalokerinos + Dr Dettman, Australie), ignorance ou Scorbut Iatrogène (Crussol).

On nous parle aussi d’accoutumance. Mais qui accepterait d’abandonner un logement douillet pour aller coucher dans la pluie et le froid. Il en est de même pour la consommation de Vitamine C. Parmi ceux qui ont goûté aux bienfaits de la correction des carences, peu d’entre eux accepteront ensuite de s’en priver, car la Vitamine C n’agit que 8 heures environ dans notre corps et dès que nous cessons de l’absorber régulièrement les carences précédentes se réinstallent… et les problèmes qu’elles entraînent avec elles également… Si vous prenez personnellement en charge votre santé, vous pourrez dire comme Mark Twain : « Des innocents ne savaient pas que la chose était impossible alors ils l’ont faite. »

POURQUOI LA VITAMINE C ?

La Vitamine C s’est révélée être la plus importante des vitamines. On l’appelle le chef d’orchestre de tous les autres nutriments, vitamines et minéraux pour lesquels elle participe à leur absorption. Il est vrai que sa carence entraîne rapidement un ralentissement et un dérèglement de toutes les fonctions de l’organisme. Il en résulte que si nous ne devions prendre qu’un seul complément alimentaire par jour, il faudrait choisir la Vitamine C parmi tous les autres nutriments. Les méfaits de la carence en Vitamine C sont innombrables, mais on doit cependant se souvenir que cette carence est endémique dans toutes les civilisations et particulièrement ignorée dans les pays qui se disent « civilisés ».

Le Dr Riordan, célèbre médecin Américain, s’adressant à une assemblée de plus de mille spécialistes médecins, biologistes et chercheurs réunis en congrès au Canada en 2004, déclarait : « Si l’on ne m’accordait qu’un seul test pour le traitement de la dépression nerveuse, je testerais la Vitamine C ».

En réalité, point n’est besoin de test, il suffit, le plus souvent, de corriger la carence en Vitamine C pour que le système immunitaire de la personne et son moral reprennent le dessus.

Souvenons-nous que la Vitamine C est utilisée par l’organisme comme antipoison. Nombreux sont les travaux étrangers sur le sujet et un Français, le Dr Bastien, célèbre médecin interniste, s’est volontairement empoisonné avec des Amanites Phalloïdes par trois fois devant des caméras de la télévision, dans l’espoir de convaincre sa profession de l’intérêt que présentait la Vitamine C dans le traitement des empoisonnements aux champignons vénéneux.

QUELLE VITAMINE C CHOISIR ET COMBIEN ?

La première question à se poser porte sur l’utilisation et sur les quantités nécessaires à notre organisme pour combler notre carence. Le Dr Riordan nous donne plusieurs pistes à ce sujet. Dans le cadre de ses recherches, alors qu’il testait chaque jour son taux personnel de Vitamine C sanguin, il fut piqué par une araignée venimeuse, mais pas mortelle. Il constata que son taux de Vitamine C s’était simultanément effondré à zéro, alors qu’il prenait chaque jour, par voie buccale, plusieurs grammes de Vitamine C. Profitant des possibilités de son centre médical, il se fit faire une perfusion de 15 grammes de Vitamine C par jour pendant quatre jours consécutifs. Il constata que son taux sanguin de Vitamine C resta malgré cela à zéro, celui-ci ne commençant à remonter qu’au cinquième jour Ainsi, les quantités de Vitamine C nécessaires pour corriger la carence dans ces circonstances, sont très supérieures à 15 grammes par jour, surtout si la Vitamine C est consommée par voie buccale, compte tenu du venin inoculé par l’araignée.

Lorsque le Dr Riordan a pris en compte le stress de certains métiers : policiers, infirmières, sportifs, celui-ci a constaté qu’au milieu de leur période d’activité, leur taux de Vitamine C tombait à zéro, tant était important leur stress professionnel… Ainsi, si une quantité suffisante de Vitamine C ne leur était pas apportée ponctuellement par voie buccale en milieu de journée, ces professionnels terminaient leur travail gravement carencé en Vitamine C… avec toutes les conséquences de l’incidence de cette carence sur le mental, les maladies dégénératives. Or, la panne en Vitamine C n’épargne personne. Elle est bien connue des mères de famille et beaucoup d’entre elles me comprendront lorsqu’elles voient rentrer à la maison chaque jour, mari et enfants stressés, intolérants et épuisés par leur journée de travail au bureau ou à l’école.

Le Dr Riordan a également fait la constatation suivante : un de ses patients cancéreux a reçu, par perfusion, au bras gauche, 50 grammes de Vitamine C injectable I.V. Après cette perfusion, le taux sanguin de Vitamine C aurait dû s’élever dans tout le corps du patient. Or le Dr Riordan constata que le taux de Vitamine C sanguin prélevé au bras droit de son patient se révéla être resté à zéro. Ce qui établit le fait que l’organisme de son patient avait absorbé et utilisé 50 grammes de Vitamine C dans le trajet sanguin allant du bras gauche au bras droit. Ceci établissant que le patient cancéreux du Dr Riordan présentait une carence grave en Vitamine C. Les médecins qui mettent à profit ces découvertes sont heureusement de plus en plus nombreux.

Ainsi la quantité de Vitamine C nécessaire au comblement des carences varie selon les individus et dans le temps, et pour les mêmes personnes, suivant les circonstances et l’évolution de leur mode de vie…

Le Dr Pierre CORSON, dans son livre « Notre Ange Gardien la Vitamine C » conseille 2 à 3 grammes de Vitamine C par jour pour les personnes adultes en bonne santé (environ 5% de la population aux USA).